Peintures et Vidéo – Installation peinture-musique :
« L’ Après midi d’un Faune »
d’après le poème de Stéphane Mallarmé et la musique de Claude Debussy.
Pour en savoir sur cette installation cliquer :
https://www.bernardbouin.com/lapres-midi-dun-faune/
Pour voir la Vidéo reliant peintures et musique cliquer sur :
https://www.youtube.com/watch?v=pcMAhwIT0xU&feature=youtu.be
Ces nymphes, je veux les perpétuer – 114 x 146 cm
Ouvert vendredi, samedi dimanche et lundi de 10 h à 16 h
Tél 06 83 36 16 55
Du 20 Mai au 21 juin 2014
Vernissage le Jeudi 22 Mai à partir de 18 H
Tous les jours sauf le Lundi de 11H à 19H
Tél 01 39 24 03 14
Crépuscule 130 x 97 cm
Catalogue disponible à la Galerie – Préface Lydia Harambourg critique d’Art
C’était en Octobre 2013 à Venise !
Pour voir la vidéo cliquer sur le lien :
https://www.youtube.com/watch?v=AKGapqmokmI
Du 5 octobre au 5 Novembre 2013
Pour voir le projet cliquer sur :https://www.bernardbouin.com/installations/ainsi-parlait-zarathoustra-2013/
L’exposition aura lieu du 5 octobre au 5 Novembre 2013
Tous les jours de 10H à 18H. Fermé le lundi.
Vernissage le samedi 5 octobre à 17H30.
A l’étage l’exposition de la Biennale 2013 : « Overplay ».
La plainte d’Ariane 100 x 81 cm – Dithyrambe de Dionysos, 1888.
Au Palazzo Albrizzi, on pourra donc découvrir l’installation peinture-musique:
« Also sprach Zarathustra »
D’après le poème musical de Richard Strauss et l’oeuvre de Friedrich Nietzsche.
Ce sera également un hommage à Nicolas Poussin.
Les textes de Friedrich Nietzsche sont pris librement dans « Also sprach Zarathustra ».
La composition de l’ensemble pictural suit la structure de l’oeuvre musicale de Richard Strauss.
C’est à la suite du concert « Also sprach Zarathustra » de Richard Strauss (Dimitri Liss et Orchestre de l’Oural) au moment de la Folle Journée de Nantes en 2011 que j’ai imaginé cette œuvre de 14 peintures.
J’ai donné aux peintures mes propres titres qui correspondent aux 9 séquences de l’oeuvre de Richard Strauss. (un seul a été gardé à l’identique le dernier :Le chant du voyageur de la nuit).
On suivra donc les peintures en lisant les textes de Nietzsche qui ont structuré mon ensemble et on écoutera l’oeuvre de Richard Strauss à l’aide de l’enregistrement choisi (Decca Herbert Von Karayan et Orchestre de Vienne 1959).
A cette fin, sur un écran placé dans la salle sera diffusé une Vidéo qui permettra de voir les peintures et de lire les textes (textes de Nietzsche en allemand, et traductions Italien, anglais, français se succédant sous forme de fondu-enchainé) au rythme de la musique.
IL Gazzettino Venezia Mardi 19 novembre 2013
Art au Palazzo Albrizzi.
Le « Mythe » de Zarathoustra revit avec Bernard Bouin, dans une œuvre picturale fantastique
Les peintres tentent souvent d’exprimer leur propre interprétation visuelle de certains grands thèmes philosophiques avec des résultats plus ou moins dignes d’intérêt sur un plan purement formel. Aussi bien, n’est-il pas toujours aisé de traduire en images des impressions émotionnelles et culturelles en partant de conceptions intellectuelles complexes.Préambule nécessaire avant de rendre compte de l’exposition personnelle inspirée que le français Bernard Bouin présente dans le nouvel et vaste espace ouvert au rez-de-chaussée du Palazzo Albrizzi, siège de l’association culturelle italo-allemande. Il s’agit d’un ensemble de 14 tableaux créés en hommage à Nietzsche clairement inspirés de l’œuvre mythique du grand penseur allemand : « Ainsi parlait Zarathoustra », écrit entre les années 1883 et 1885. En outre, cet hommage revêt une plus ample dimension, car enrichi de notes tirées de l’œuvre homonyme de Strass composée en 1896, directement inspirée de la pensée philosophique de Nietzsche. Cette construction confirme l’intense et émouvante fascination que l’œuvre continue d’exercer depuis maintenant plus d’un siècle, comme en témoigne, pour prendre un seul exemple, l’emploi de cette célèbre musique de Strauss dans le non mois célèbre film de Stanley Kubrick : « 2001 Odyssée de l’espace ».Pour en revenir aux peintures de Bernard Bouin, il convient de remarquer que le peintre français, que l’aspect figuratif de ses œuvres, fruit de son propre choix et de sa propre imagination, a su évoquer en un langage expressif, personnel et convainquant de mystérieuses atmosphères suggestives à l’intérieur des quelles nous rencontrons parfois des personnages modernes authentiquement contemporains.Dans quelques toiles, le personnage est représenté de dos, indistinct, immergé dans une ambiance surréelle à l’intérieur même des paysages, agrémenté parfois de citation littéraire.De ce monde onirique et fantastique ainsi créé, lointain en dépit d’une apparente proximité, ouvert à toutes possibilités du réel, surgit sur le mode visuel un vaste imaginaire poétique enrichi de références philosophiques convergentes et d’évocations musicales parallèles.Enzo Di Martino (Traduction française R.Denécheau 2013)
Du 4 octobre au 31 Octobre 2013
Corte canal 114 x 146 cm
Tout passe et tout revient, éternellement tourne la roue de l’être.
Tout meurt, tout refleurit ;éternellement se déroule le cycle de l’être .
« Also sprach Zarathustra » Friedrich Nietzsche traduction Geneviève Bianquis
L’exposition aura lieu du 4 octobre au 31 Octobre 2013.
Tous les jours de 10H à 18H. Fermé samedi et dimanche.
Vernissage le Vendredi 4 Octobre à 18H30.
Du 18 Septembre au 22 Octobre 2013
Vernissage le Jeudi 19 septembre à partir de 18H30
Tous les jours sauf le Lundi de 10H30 à 13H et de 14h à 19H
Tél 01 55 42 94 23
Nuit 97 x 146 cm
Catalogue disponible à la Galerie – Préface Lydia Harambourg critique d’Art
Du 19 Juillet au 31 Août 2013.
Tous les jours sauf le Jeudi de 15 heures à 18 heures.
Exposition qui sera ensuite présentée à la
Du 3 septembre au 7 Octobre 2013
Crépuscule 130 x 97 cm
Nature(s) Silencieuse(s)
Peintre intimiste, Bernard Bouin plonge ses sujets dans le silence. Ses paysages de Venise, où il a séjourné récemment, sont des transpositions émotionnelles de sa contemplation. Ce ne sont pas les images, emblématiques de la Sérénissime qui le retiennent, mais une atmosphère particulière propre à la lagune et à son immensité. L’espace, ouvert aux jeux du crépuscule, suggère l’illusion. Le peintre ne retient que quelques détails : des pontons, la côte éloignée d’une des iles s’effaçant dans la brune, inscrivent une perspective dans un plan unique presque entièrement consacré aux vibrations nocturnes. Cette incertitude du lieu convient au peintre attentif à l’arrêt du temps. Le pouvoir de fascination qu’exerce sa peinture est toujours aussi efficace, qu’il s’agisse de personnages énigmatiques figés dans la lumière d’un réverbère, un thème qui traverse son oeuvre avec ses vues urbaines nocturnes, ses paysages diurnes soumis aux changements saisonniers de la lumière. Ici, la lumière incertaine, papillotante de touches légères, organise la toile et la rythme. La dimension réaliste du sujet croise la perception subjective de l’artiste.
Avec ses natures mortes, Bernard Bouin relie le passé au présent. La simplicité des objets – un pot en céramique blanche associé à des figues , à un citron, à des raisins ou une pastèque – est encore une fois un prétexte à exprimer ce qui ne se voit pas. Sa peinture est une méditation sur la part matérielle des choses et leur présence impalpable. Tout le travail de Bernard Bouin réside dans la subtilité d’un double espace temporel et spirituel. Cette simultanéité, filtrant le regard et la pensée, fait allusion à la métaphore du miroir.
Son talent est de nous faire partager l’illusion de la réalité transposée.
Lydai Harambourg – Gazette Hôtel Drouot – Octobre 2012