« Merci Monsieur Poussin » par Bernard Bouin, au Musée Nicolas Poussin

"Merci Monsieur Poussin par Bernard Bouin", Musée Nicolas Poussin - Les Andelys

Regarder, écouter, lire, peindre...
Nicolas Poussin, Richard Strauss, Michel de Montaigne et Friedrich Nietzsche.
Exposition Musée Nicolas Poussin Les Andelys

Vernissage de l’exposition

Vendredi 5 Avril à 18 heures au Musée Nicolas Poussin

Dates de l'Exposition

Du 6 Avril au 3 Novembre 2024

Interview de Bernard Bouin par « CHERCHEURS D’ART » – BFM PARIS

Exposition « Mais toute joie veut l’Eternité »

A Paris, Mairie du 6e arrondissement (75006).

C’est un voyage entre poésie, musique et peintures que Bernard Bouin propose dans cette exposition à Paris.

L’exposition débute par la toile intitulée « Le Voyageur et son ombre »  2022 – 114 x 162 cm qui fait référence à l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Et in Arcadia Ego » et la toile du même nom Nicolas Poussin du Musée du Louvre.

Dans la salle de l’exposition, le spectateur sera invité, devant les œuvres accrochées aux cimaises, à un parcours musical sous forme de vidéos.

 

Vernissage de l’exposition

Jeudi 8 septembre à 18 heures

Dates de l'Exposition

Du 5 septembre au 1er octobre 2022

Entrée libre

Du lundi au vendredi de 10H30 à 17h. Le samedi de 10h à 12h

 

« La joie plus profonde que la peine.

Mais toute joie veut l’Éternité,

Veut la profonde Éternité ! »

Le Chant d’ivresse d’Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche

Correspondances poétiques et musicales.

 

 

Interview de l’exposition par « CHERCHEURS D’ART » – BFM PARIS

Avec Nicolas Poussin,

Friedrich Nietzsche, Alphonse de Lamartine, Stéphane Mallarmé, Allan Edgar Poe, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Victor Hugo, Michel de Montaigne,

Gustav Mahler, Claudio Monteverdi, Christoph Willibald Gluck, Antonio Vivaldi et Claude Debussy.

 

C’est un voyage entre poésie, musique et peintures que Bernard Bouin propose dans cette exposition à Paris.

En effet depuis la création en 2010 avec son ami le violoncelliste Bruno Cocset de l’installation peinture-musique « Le Chant du jour », Bernard Bouin continue ce travail original de correspondances entre peinture, musique et poésie avec de grandes séries aux références mythologiques et poétiques.

 

L’exposition débute par la toile intitulée « Le Voyageur et son ombre »  2022 – 114 x 162 cm qui fait référence à l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Et in Arcadia Ego » et la toile du même nom Nicolas Poussin du Musée du Louvre.

« Et in Arcadia ego » est le titre d’un tableau de Nicolas Poussin du Musée du Louvre. C’est aussi le nom de l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Le voyageur et son ombre » écrit en décembre 1879 dont voici l’extrait final : « Il fallait sentir (empfinden) comme Poussin et son élève : à la fois d’une façon héroïque et idyllique. – Et, c’est ainsi que certains hommes ont aussi vécu, ainsi qu’ils se sont continuellement (dauernd) sentis dans le monde, qu’ils ont senti le monde en eux (in der Welt und die Welt in sich gefühlt), et parmi eux l’un des plus grands hommes qui soient, l'inventeur (Erfinder) d'une façon de philosopher héroïque et idyllique tout à la fois : Epicure.

Dans la salle de l’exposition, le spectateur sera invité, devant les œuvres accrochées aux cimaises, à un parcours musical sous forme de vidéos.

La vidéo de l’exposition (32’57)

La vidéo commence par un long chant de Kathleen Ferrier : « O Mensch » de Gustav Mahler 3e Symphonie évoquant le Chant de Minuit de Zarathoustra de Friedrich Nietzsche (2013) puis le Lamento d’Arianna de Claudio Monterverdi (Ariane à Naxos 2021) et la Plainte d’Orphée de Christoph Willibald Gluck (ensemble de 2 peintures autour de la copie en noir de blanc de la toile «  Orphée et Eurydice » de Nicolas Poussin du Musée du Louvre – 2018.

Cet hommage à Nicolas Poussin se poursuit avec « Miroir des Saisons 2005 » mis en résonnance avec des concertos d’Antonio Vivaldi interprétés par le violoncelliste Bruno Cocset et son ensemble les Basses réunies.

Les peintures et la musique sont mises en correspondance avec des extraits du poème « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine évoquant la fuite du temps.

Également diffusé, un extrait de la vidéo du Corbeau d’Allan Edgar Poe (2015) avec le texte original et ses allitérations musicales dans la traduction de Stéphane Mallarmé. Puis un extrait de la vidéo de l’Après midi d’un faune de Stéphane Mallarmé avec le prélude de Claude Debussy (2014) pour finir ce parcours musical.

A l’étage, des toiles de rochers et de mers nocturnes et un ensemble de cinq peintures en bord de mer à Carnac évoquant la course toujours recommencée du soleil du crépuscule à l’aurore et le mythe d’Orphée selon Stéphane Mallarmé. Paysages au fil des saisons, natures mortes ou silencieuses et quelques stèles de Carnac évoquent aussi les vanités et l’Ecclésiaste.

Une exposition de 56 peintures, couvrant la période 2002 à 2022.

Très souvent, chez Bernard Bouin, la figuration est nocturne mais toujours porteuse de rêve et de mystère.  Au fur et à mesure, Bernard Bouin cherche ainsi à définir, les paramètres d’une représentation qui convienne à sa quête de sens.

 

« Bernard Bouin porte à son comble le message de la peinture, qui ne doit rien qu’à elle-même. Née de sa propre lumière, de sa force suggestive, de ses coloris tout aussi translucides, son œuvre est pénétrée de silence et d’immobilité dans une époque si agitée et si bruyante. Sa peinture est en quête d’elle-même, accordée aux lois de l’harmonie qui ordonnent l’univers ».

Lydia Harambourg historienne et critique d’art.

Extraits du Livre « Bernard Bouin Peintures du réel au mystère » Edition El Viso Madrid/Paris 2019.

 

Rencontres avec Bernard Bouin

  • Vendredi 9 septembre à 11h
  • Vendredi 16 septembre à 15h avant le concert.
  • Vendredi 23 septembre à 11h
  • Vendredi 30 septembre à 11h

 

 

Concert le vendredi 16 septembre

Salle des Fêtes à 17 heures.
En écho, dans un concert intitulé "Miroirs", ses amis les violoncellistes Emmanuel Jacques et Bruno Cocset joueront des sonates de Francesco Geminiani et de Jean-Baptiste Barrière. Bruno Cocset et Emmanuel Jacques ont aussi en commun leur passion pour la peinture et leur rencontre avec Bernard Bouin, source d’inspiration et de projets où musique et peinture se mêlent, communiquent, s’interpellent…

Exposition « Nature(s) silencieuse(s) » & « La nuit étoilée de Vincent Van Gogh »

Le vernissage de l’exposition de peintures aura lieu l’après-midi du samedi 24 juillet 2021, 7 rue des Korrigans à Carnac (Morbihan), de 15 heures à 20 heures.

Cette année dans mon atelier de Carnac, vous pourrez découvrir du 24 juillet au 22 août, un ensemble de mes peintures récentes.

 

Vernissage de l’exposition

Samedi 24 Juillet de 15h à 20h

Dates de l'Exposition

Du 24 juillet au 22 août 2021

Entrée libre

Ouvert tous les jours De 10h30 à 12h30 et 16h00 à 19h00

Dans la première salle, un ensemble de peintures récentes scènes  nocturnes  les plus souvent de Vannes ainsi que des natures mortes (24 peintures).

Dans la deuxième salle et en écho, avec mes « nocturnes », une installation peinture – musique « La Nuit étoilée de Vincent Van Gogh » crée entre 2014 et 2020 autour des lettres de Vincent à Théo sur sa vision cosmique du monde.

C’est à la suite de mon séjour à Saint Rémy de Provence en Mai 2014, que j’ai relu les lettres de Vincent Van Gogh  à son frère Théo.

Très vite, je me suis intéressé à l’intérêt que Van Gogh portait à la Nuit étoilée. Quel sens lui donnait-il ?

Le 18 Juin 1888, Van Gogh écrit au peintre Emile Bernard «  Mais quand donc ferais-je le ciel étoilé, ce tableau qui toujours me préoccupe ».

Le 29 septembre 1888, Vincent écrit à Théo : « Ci-inclus petit croquis d’une toile de 30 carrée, enfin le ciel étoilé peint la nuit même sous le bec de gaz ».

Le 2 Octobre 1888, dans une lettre à son ami Eugène Boch, il écrit : «  Puis enfin une étude du Rhône, de la ville éclairée au gaz et se reflétant dans la rivière bleue. ».

Ces deux dessins, très élaborés, sont des citations de « La nuit étoilée sur le Rhône » (Musée d’Art Moderne New York 73 x 92 cm).  Cette berge du Rhône est évoquée avec une fermeté graphique et révèle un travail remarquable sur les effets de valeurs. Dans les deux cas, domine l’effet graphique qui donne aux étoiles une présence démesurée, montrant qu’elles sont le véritable sujet du travail du peintre. Ces deux dessins m’ont donné envie de faire une copie de cette toile au crayon pastel blanc sur fond noir mais d’après la peinture de Van Gogh.

J’ai poursuivi mes études en copiant La toile « La Nuit étoilée 73 x 92 cm » (Musée d’Orsay) peinte à Saint Rémy en Juin 1889 sous forme d’un dessin au pastel blanc sur fond noir.

Vincent Van Gogh avait une conception de la destinée cosmique de l’homme que je partage et cette quête de sens qui est au coeur de mon travail.

Le choix de recopier de la même façon la toile « Le Champ de blé aux corbeaux  50,5 x 100,5 cm» (Musée Van Gogh Amsterdam) peint à la fin de sa vie à Auvers sur Oise structurait l’ensemble intitulée « La Nuit étoilée de Vincent Van Gogh» qui évoqueraient Les dernières années de la vie de Vincent Van Gogh : Arles 1888 – Saint Rémy de Provence 1889 – Auvers sur Oise 1890.

La création de peintures plus personnelles soit quatre grands polyptyques de quatre mètres de long sur les paysages des Alpilles près de Saint Rémy de Provence et des prairies et champs labourés à Auvers sur Oise (chers à Van Gogh) ainsi qu ‘un petit polyptyque représentant la chambre de l’auberge Ravoux complètent cet ensemble.

Une vidéo des peintures de 12’40 (musiques de Richard Strauss et d’Henry Purcell) est diffusée pendant l’exposition pour lier ce travail pictural à la musique :

« Dans un tableau, je voudrais dire quelque chose de consolant, comme la musique »

Vincent Van Gogh à Théo le 1 septembre 1988.

 

Installation poèmes, musique et peintures : Hermann Hesse, Richard Strauss, Joseph von Eichendorff, Bernard Bouin

Ensemble de peintures créées au printemps 2019 : Il s'agit de 4 peintures de 140 x 200 cm inspirées de poèmes.

Les textes des trois premiers poèmes sont de Hermann Hesse. Le dernier poème est de Joseph von Eichendorff.

Il est constitué de :

  • Frühling (« Printemps »), allegretto ;
  • September (« Septembre »), andante ;
  • Beim Schlafengehen (« L'heure du sommeil ») andante ;
  • Im Abendrot (« Au crépuscule ») andante.

Cette œuvre représente en quelque sorte le testament musical du compositeur, décédé en 1949 à 85 ans.

L'ensemble présente un raccourci sur le cycle de la vie, du « printemps » au « soleil couchant », dont le dernier vers est « Ist dies etwa der Tod ? » (« Serait-ce donc la mort ? »). Ces lieder proclament l'acceptation sereine de la mort, comme une mort en beauté. Un adieu poignant à la vie, tout de contentement et sensualité, que traduit une orchestration brillante et colorée, mais en même temps simple, par rapport à des œuvres antérieures, sans ornements pesants. Leur ordre a été fixé de manière posthume.

Cet ensemble Vier letzte Lieder (Quatre derniers lieder), op. 150, est un cycle de lieder pour soprano et orchestre composés par Richard Strauss entre mai et septembre 1948. La création eut lieu au Royal Albert Hall de Londres le 22 mai 1950 par la soprano Kirsten Flagstad et l'orchestre Philharmonia dirigé par Wilhelm Furtwängler.

C'est cette version musicale que j'ai choisie pour relier les poèmes et mes peintures dans la vidéo qui sera diffusée dans l'exposition.

Cette vidéo dure un peu plus de 20 minutes. C'est émouvant puisqu'il s'agit de la création de l’œuvre avec la soprano Kristen Flagstad qu'avait choisi Richard Strauss décédé huit mois plus tôt.

Dans cette version historique, "ça gratte" un peu mais le but est de faire participer le spectateur aux sources (musique et poèmes) qui m'a permis de créer ces quatre grandes peintures."

Date et horaires

Jeudi 10, vendredi 11 et samedi 12 septembre 2020, à 10h, 11h, 14h, 15h, 16h et 17h




Exposition au Kiosque à Vannes, à l’occasion de la sortie du livre

Exposition visible à Vannes durant 3 mois...

A l’occasion de la sortie du livre « Bernard Bouin, du réel au mystère », M. le Maire de Vannes David Robo a souhaité qu'il soit organisé au Kiosque situé sur le port de Vannes, une exposition de mon travail du 12 décembre 2019 au 1er mars 2020.

Ce livre qui couvre l'ensemble de mon travail depuis 30 ans pourra être consulté sur le lieu de l’exposition.

Livre Bernard Bouin

Date et horaires

12 décembre 2019 au 1er mars 2020 - Tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h

Exposition « Le silence bleu » – Galerie de l’Europe (Paris)

Enregistrer

Vernissage le jeudi 1er juin 2017

Ouvert du mardi au samedi de 10H30 – 13 H et 14H -19H

Tél: 01 55 42 94 23 – Fax: 01 43 25 02 93

E-mail : europe@noos.fr

Site internet: www.galerie-europe.com

Vernissage

Jeudi 1 juin 2017 à partir de 18H30

Dates de l'exposition

Du 23 mai au 24 Juin 2017

 

Enregistrer

 

« L’inconnu, immense architecte, ne calcule rien, et réussit tout ; les rochers, bâtis pêle-mêle, composent un monument monstre ; nulle logique, un vaste équilibre.

C’est plus que de la solidité, c’est de l’éternité. En même temps, c’est le désordre.

Le tumulte de la vague semble avoir passé dans le granit. Un écueil, c’est de la tempête pétrifiée. Rien de plus émouvant pour l’esprit que cette farouche architecture, toujours croulante, toujours debout.

Tout s’y entr’aide et s’y contrarie.

C’est un combat de lignes d’où résulte un édifice.

On y reconnaît la collaboration de ces deux querelles, l’océan et l’ouragan »

Victor Hugo « Les travailleurs de la mer »  - Tome 2 - 1892

 

Exposition « Silences et Réalités » – Galerie Hébert (Grenoble)

affiche_galerie_hebert_2016

Enregistrer

Retour à Grenoble...

 

Après y avoir fait de nombreuses exposition à la Galerie Cupillard dans la années 1990/2000, Bernard Bouin retourne à Grenoble pour une exposition à la Galerie Hébert intitulée "Silences et Réalités".

Le travail présenté, s'articule autour de toiles anciennes (années 1990/2000) et aussi récentes (2011/2015) : scènes urbaines ou de paysages en bord de mer le plus souvent au crépuscule.